Revue de presse - juillet 2024
Bonjour,
Une collection de liens de juillet :
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Bonne nouvelle, les émissions de GES baissent en France.
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Quelle est la valeur d’un produit pour son utilisateur ? Dans cet article, les auteurs proposent un modèle, inspiré de la pyramide de Maslow, permettant de réfléchir sur cette question (en).
- Première preuves de l’existence d’une exoplanète océan grâce à James Webb
- Les mélodies des chansons sont devenues de plus en plus simples depuis les années 50.
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Après les lois de Moore, de Koomey et de Wirth, voir la loi Crayola : le nombre de couleurs double tous les 18 ans (en)
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Un ingénieur partage son expérience de l’utilisation d’internet au pôle sud (en), où la mauvaise connectivité rend visibles et pénibles pas mal de problèmes de conception.
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Des acteurs, comme 37signals, reviennent volontairement à du on premise (en) pour réduire leurs coûts
- De l’IOT ridicule, ça faisait longtemps : il existe une corde à sauter connectée à 200$, avec un abonnement à 12$ par mois (en).
- Apple broie les iPhone au lieu de les reconditionner
- Des casques filaires qui ont besoin du bluetooth ? Triste histoire d’optimisation capitaliste au détriment de l’environnement et de l’expérience utilisateur.
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Le Japon a réussi à se débarrasser des disquettes et des fax après un plan de 2 ans.
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France Stratégie a partagé une note d’analyse sur la contribution du numérique à la décarbonation (à quel point le numérique permet de décarbonner les autres secteurs), par Anne Faure et Gauthier Roussilhe. Citation : « Sans être négligeable, le potentiel de ces solutions numériques paraît globalement modeste au regard du niveau actuel des émissions de leur secteur d’application. Souvent limitées par des effets rebond, les économies d’énergie et les réductions d’émissions escomptées restent largement hypothétiques, nécessitant en général des changements de comportement des utilisateurs. »
- Dans la stratégie nationale bas carbone (SNBC), il y a une première cible pour la décarbonation du numérique en France. On y voit l’écart entre le scénario tendanciel ADEME-ARCEP et la cible.
- Après Microsoft, Google voit ses émissions de CO₂ augmenter, à cause de l’IA
- Pourtant les IA génératives s’optimisent, par exemple Google affirme que sa nouvelle technologie d’entraînement de l’IA, JEST, est 13 fois plus rapide et 10 fois plus économe en énergie et un dirigeant de Google affirme que l’IA n’est pas responsable de l’augmentation des émissions des centres de données.
- Rien de nouveau, mais c’est toujours impressionnant dit comme ça : Microsoft et Google consomment plus d’électricité que l’Islande ou la Tunisie.
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Toujours sur ce sujet, l’AFNOR a rendu disponible un « référentiel général pour l’IA frugale »
- Amazon affirme que l’entreprise fonctionne à 100% avec de l’énergie propre, les employés ne sont pas d’accord. Et surtout, il n’y a pas d’énergie propre.