Une étude pointant un problème des environnements collaboratif : les meilleurs employés sont vus comme des menaces pour la position ou l’estime de soi des gens moins compétents : ‘Collaboration’ Creates Mediocrity, Not Excellence

Si on m’avait dit ça il y a 15 ans… Microsoft annonce un os basé sur linux

J’ai apprécié la lecture de la semaine de 4 heures, mais l’état d’esprit du bonhomme m’a toujours dérangé. Il a un coté parasite. Pour moi idéalement nous devrions chercher à apporter quelque chose à l’humanité. Cet article présente l’éthique de l’artisanat logiciel comme une alternative à ce mindset : on crée de beaux produits qui apportent de la valeur.

Un article que j’ai trouvé intéressant sur la lisibilité d’un code source. Extrait : « By analogy, reading, Shakespeare is difficult, but we don’t say “Macbeth is unreadable.” We understand that the problem lies with the reader. We may not have sufficient experience with the language, idioms, historical and cultural context, etc… » . C’est vrai qu’on ne peut pas avoir toujours quelque chose d’entièrement compréhensible au premier coup d’œil. Parfois on écrit des choses non triviales et il faut quelque minutes d’effort pour les comprendre. Comme toute communication, lire un code source implique des pré-requis, un niveau de compréhension et de connaissance du sujet qui peut varier entre les individus.

Hier soir sur twitter Sarah Mei a rédigé une intéressante story (oui c’est pénible à lire et ce serait mieux en post de blog) pointant l’existence de rapports de forces entre les différentes personnes, en fonction de leur genre, race, séniorité, etc… dans le cadre des pratiques agiles type pair programming ou daily meeting. C’est assez intéressant, vu qu’on y pense pas forcément, tant les arguments pour ces pratiques sont nombreux. C’est vrai dans toute interactions sociales néanmoins.

Dans la même idée, il y a des gens qui sont dérangés par le terme « craftsman », qui exclurait les femmes. Les alternatives étant « craftspeople » ou « craftsperson ».