Plus que de compétences encyclopédiques, la qualité logicielle est une question d’habitudes, comme manger des fruits ou faire de l’exercice. Ce n’est pas une fonctionnalité, un attribut que l’on peu ajouter de façon discrète –  par exemple sur un sprint – c’est une variable à intégrer en continu, tout le long de la vie du projet.

Or comme chacun sait les bonnes habitudes sont difficiles à prendre et à conserver, et les mauvaises ont tendance à revenir.

On pourrait pousser la comparaison en parlant de healthy coding ou développement sain comme on par le healthy life, vie saine.

Et pourquoi pas lancer des slogans comme « cinq tests ou commentaires par jour », ou encore « pour un logiciel équilibré, évitez de développer sans tester, sans réfactorer, sans commenter; www.codez-bougez.fr » ?